Sois le dieu de la guerre, aux Thermopyles !

Si les légions romaines ont codifié les tactiques de combat, ce jeu qui met en scène la bataille des Thermopyles offre de simuler les combats des 300 guerriers spartiates, qui doivent vraiment être dédiés au dieu de la guerre.

Un jeu guerrier de simulation de combats permet de recréer les conditions de la bataille des Thermopyles, qui peut véritablement être dédiée au dieu de la guerre… À vous d’égaler les qualités des guerriers spartiates dans la partie, qui va se jouer en 18 étapes au cours desquelles le joueur se trouve dans la peau d’un des 300 vaillants Spartiates qui ont empêché l’armée du roi perse Xerxès de franchir les portes d’un défilé escarpé en -480 AVJC, la célèbre bataille des Thermopyles… L’intérêt de ce jeu est constitué par l’adoption des techniques de combat utilisés pendant l’Antiquité quand le corps à corps se trouve au centre du combat, tandis que les soldats n’ont à leur disposition que des armes à courte portée. Et c’est tant mieux dans ce cas, puisque les Thermopyles n’offrent qu’un étroit passage aux armées !

Comment les Thermopyles préfigurent la guerre romaine :

Si les Romains sont rapidement devenus maîtres en matière de tactique et de manœuvrabilité pour leurs légions dans les combats, on va néanmoins s’apercevoir avec le jeu « God of War » qu’ils le doivent à l’héritage que la tactique de combat adoptée au cours de la bataille des Thermopyles par le contingent des 300 guerriers spartiates. Dans ce jeu de guerre, qui se joue entièrement au clavier (et ce qui n’est pas une mince affaire en matière de manœuvrabilité), le joueur va disposer de plusieurs options au clavier :

Pour manœuvrer le guerrier, utiliser les flèches ou les touches Q, Z, S, D ;

Pour les postures d’attaque, plusieurs solutions possibles :

  1. Dans une configuration classique, utiliser les touches B, N ou M ;
  2. Une première alternative pour l’attaque avec les touches D, D et B ;
  3. Une seconde posture d’attaque possible avec les touches D, D et N ;
  4. Une dernière posture d’attaque, au moyen des touches D, D et M.

Le jeu se révèle ainsi plus complexe, mais bien plus intéressant à jouer, et tout comme son homologue « God of War » sur PlayStation 2 et 3, il y a en plus à des flots de sang pour ponctuer les coups portés à l’adversaire qui a pour lui le nombre pour avantage dans le combat. Le plus important, c’est d’éviter de perdre la tête dans ce jeu de guerre spartiate : vous perdez tout votre crédit de vies du même coup ! Alors gardez-vous à gauche, à droite, et assénez vos coups sur les guerriers perses en apprenant à maîtriser l’art du combat en sous-effectif… Bonne partie !

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